Le Voyageur

Yann Kandinsky est contacté par la commissaire Macéna qui a reçu une lettre que seul Kandinsky pouvait prendre au sérieux. La lettre a été écrite par un certain Michaël, un enfant de 10 ans, lequel supplie la police d'arrêter le monstre qui a enlevé plusieurs personnes dans la forêt. La proximité de ce dernier interdit à Michaël le sous-bois, ce qui représente un drame pour lui. Enfant solitaire, il y passe, dès qu'il le peut, toutes ses journées. Il est passionné par les plantes, les pierres, les arbres. Michaël, persuadé que le monstre habite Murce, son village, suggère à la police d'enquêter discrètement, pour ne pas éveiller les soupçons.

Kandinsky s'arrête en Lorraine, où son intuition le pousse à rapprocher le cas de trois hommes qui semblent s’être suicidés. Quel est le lien qui réunirait ces trois hommes ?

Yann Kandinsky se ressource dans une forêt située au fin fond de l’Allier, désireux de prendre du recul, après avoir affronté les pires criminels. Mais sa tranquillité est de courte durée, le policier est contacté par un homme qui l’appelle sans décliner son identité. Ce dernier établit un lien entre trois disparitions de femmes intervenues dans un même secteur géographique, autour de Brest. Kandinsky refuse de se mobiliser. L’inconnu n’a de cesse d’alimenter la boîte mail de Kandinsky d’articles de presse concernant ces affaires. Kandinsky prend la route pour la Bretagne, lorsqu’il découvre que la mère de l’une des disparues, Madeleine Guyot, entame sa troisième semaine de grève de la faim afin que la police s’intéresse à ce qu’elle considère comme un enlèvement et non une disparition volontaire. Le Voyageur va établir « son quartier général » chez Madeleine. Les proches des disparues vont constituer sa brigade.